Nos idées de lieux à découvrir en Bretagne, Normandie et Pays-de-la-Loire
Autrice : Amélie Blandeau Publié le : 28 juillet 2025
La belle saison est toujours l'occasion de découvrir de nouveaux lieux, au soleil ou sous une pluie estivale. Cet été, on partage avec vous quelques suggestions de lieux qui ont murmuré à notre oreille et qui portent en eux une âme vibrante ! A chaque fois, nous mettons en lumière un lieu que nous avons visité et aimé dans les régions Bretagne, Normandie et Pays-de-la-Loire. Nous adaptons ici une série produite pour notre compte Instagram et intitulée "Les bons coins de Genius loci".

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Clisson et le domaine de la Garenne-Lemot
Pour ce premier épisode, nous nous sommes laissées inspirer par le thème des jardins qui sera à l'honneur ce week-end avec les merveilleux Rendez-vous aux Jardins.
Quel jardin avons-nous particulièrement aimé lors de nos visites ? Le parc de la Garenne-Lemot !
Clisson est une commune de Loire-Atlantique connue pour son architecture italianisante incarnée par la villa néo-palladienne de la Garenne-Lemot et son parc. Aujourd’hui située au cœur du vignoble nantais, Clisson était une place forte à l’époque médiévale et un point stratégique pour la défense du Duché de Bretagne. Son château fort (en ruines) se visite et le domaine de la Garenne-Lemot est ouvert au public. Pour parfaire la journée, on peut ajouter une découverte du bourg de Clisson et des bords de la Sèvre nantaise. Un vrai coup de cœur !
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Rochefort-en-Terre la charmante
Continuons nos découvertes avec la petite ville de Rochefort-en-Terre. Petite cité de caractère, ville fleurie, Plus beau village de France, tout à Rochefort-en-Terre, semble charmant. Mais loin d’être une coquille vide, Rochefort est un territoire riche. On y découvre de nombreuses bâtisses des XVIe et XVIIe siècles qui témoignent du passé opulent lié aux seigneurs de Rochefort. Le bourg s’est développé en proximité immédiate du château construit sur un éperon rocheux (on trouve là l’origine du nom de la cité).
Mais la fameuse Rochefort recèle un secret bien gardé que l’on découvre en poussant la grille du château… Au détour du XXI siècle, une femme qu’on appelle Naïa et vivant dans les ruines du château est reconnue comme la sorcière de Rochefort-en-Terre. Sa rencontre avec le romancier et photographe rennais Charles Géniaux laissera un témoignage surprenant ! Un musée inspiré de son histoire est aujourd’hui accessible.
A Rochefort-en-Terre, faites une pause hors du temps, rangez vos téléphones et émerveillez-vous.
On peut compléter une journée à Rochefort par la découverte de la Gacilly, située non loin.
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La Vallée du Lude et le sentier des falaises de Carolles
Cette fois, découvrons un site hors du temps… avec vue sur le Mont-Saint-Michel ! La Vallée du Lude est située sur la commune de Carolles dans le département de la Manche. C’est un site enserré entre deux falaises qui suit le court du ruisseau du Lude et qui présente une richesse naturelle exceptionnelle. On peut y faire une boucle simple au départ du parking de la Vallée du Lude. Espaces boisés le long de la rivière et champs vallonnés alternent avec un sentier côtier en parti abrité et qui dévoile des points de vue où la mer semble infinie.
La légende locale explique que la Vallée du Lude résulte d’un combat entre l’archange Saint-Michel et Satan réfugié sur le rocher du Sard. Saint-Michel, en voulant abattre son épée sur le diable aurait creusé dans la falaise cette vallée aujourd’hui luxuriante.
En chemin, ne manquez pas la cabane Vauban qui offre une vue directe sur le Mont, et le rocher du Sard, griffe de roche entre verdure et étendue bleue.
On peut compléter la boucle par le parcours de la Vallée des peintres. Un ensemble de panneaux met en avant les nombreuses peintures inspirées par les paysages environnants, preuve s’il en fallait, de leur caractère exceptionnel.
Indéniablement, lorsqu’on arpente ce lieu, on se sent chanceux !
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La cité médiévale de Saint-Suzanne
Pour ce 4ème épisode, découvrons les charmants détours de Sainte-Suzanne. Ce bourg situé à l’est de Laval, en Mayenne, est reconnu comme l’un des plus beaux villages de France. Ce qui nous marque à Sainte-Suzanne, c’est son caractère, mystérieux, souriant, malicieux, enveloppant, charmant, comme on serait pris dans un charme de sorcière !
La promenade des remparts de Sainte-Suzanne offre un panorama incomparable sur les campagnes mayennaises et en particulier sur les collines des Coëvrons et la vallée de l’Erve. En miroir, les sentiers de randonnée environnants offrent un point de vue remarquable sur le château et ses remparts. Un site à découvrir et redécouvrir à chaque saison.
Ne manquez pas la visite du CIAP (Centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine), situé dans le logis et qui vous permettra de découvrir la riche histoire de la Mayenne. D’ailleurs, la double présence du donjon du XIème siècle et du logis du XVIIème siècle prouve l’importance du site dans le Maine (province historique qui s’étendait sur une partie de la Mayenne et de la Sarthe).
💛 Notre coup de cœur à Sainte-Suzanne : le petit jardin médiéval au pied des remparts, qui a été créé et est entretenu par une association et vous plonge dans la quiétude d'un autre temps.
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Le Lude, un château de la Loire sur le Loir
Pour ce 5ème épisode, prenons la direction de la Sarthe et des bords du Loir, là où les imposantes tours du château du Lude se dévoilent. Alors, éclairons tout de suite la question : Le château du Lude ne se situe pas du tout au même endroit que la Vallée du Lude dont nous avons récemment parlé ! L’homonymie ne signifie pas proximité géographique. Le Lude sarthois découlant du mot latin signifiant « lumière », on imagine qu’il a désigné à l’origine une clairière.
Répertorié comme le plus au nord des châteaux de la Loire (réalité ou message marketing, à vous de voir), le château du Lude n’a en effet pas à rougir de son allure. Doté de tours massives qui font sa signature, il alterne les styles, témoins de son histoire ancienne. Situé aux confins des provinces du Maine, de l’Anjou et de la Touraine, le château a aussi joui de sa proximité avec les Duchés normands et bretons qui en ont fait une place tout à fait stratégique.
Son profil le plus célèbre est de style Renaissance, mais on y trouve des éléments néoclassiques, néogothiques et même quelques reliquats médiévaux. Cet assemblage qui fait toute l’identité du château du Lude, est repris dans l’aménagement des pièces intérieures ouvertes à la visite et qui font écho à chaque fois au style de la façade dont elles dépendent.
Au château du Lude, il ne faut pas manquer d’arpenter les larges jardins en terrasse qui offre une oasis de quiétude à deux pas du bourg du même nom.
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Le château de Hac, la lumière incomparable d'une pierre rare
Continuons l'aventure dans les Côtes d'Armor, avec le château de Hac, au Quiou !
Le château de Hac a la particularité d’être construit en pierre des Faluns. Si dans les environs, d’autres bâtisses ont été érigées avec le même matériau, le château en est un exemplaire exceptionnel par son envergure. La pierre des Faluns est un témoin d’un passé fort lointain qui nous fait remonter jusqu’à des millions d’années en arrière, à une époque où une mer recouvrait cette zone. Après le retrait de la mer, une roche sédimentaire s’est lentement créée sur les restes coquilliers marins.
La pierre des Faluns tient son nom de la mer des Faluns, qui elle-même tient son nom de la pierre… ! Le Robert définit en effet le mot « falun » comme suit : « Dépôt sédimentaire meuble formé de coquilles.«
Revenons au château. Il est un héritage direct de l’âge d’or du Duché de Bretagne. Construit au XVème siècle par Jean Hingant de Hac, chambellan du duc de Bretagne Jean V, le château est passé de famille en famille mais a toujours été préservé et entretenu, ce qui en fait un lieu de visite passionnant.
Ce qu’on aime ici, c’est l'emplacement tout à fait confidentiel. Alors qu’on a le sentiment de se trouver au milieu de nulle part, on découvre le château au dernier moment, au détour d’une allée d’arbres. Sa pierre lui donne une couleur unique à la lumière du soleil pour une impression captivante ! Son petit jardin situé à l’arrière complète l’impression d’être dans un écrin.
Pour compléter la visite du château, ne manquez pas les vestiges de la villa gallo-romaines du Quiou ainsi que son sentier nature !
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La vallée des grottes de Saulges
Les grottes sont des lieux rares au nord de la Loire, pourtant, au détour d’une route de Mayenne, on découvre des grottes qui n’ont pas à rougir. Localement appelées des « caves », les grottes de Saulges sont un ensemble de 23 cavités situées le long d’un canyon creusé par l’Erve, affluent de la Sarthe. De précieuses traces d’habitat ont été trouvées dans ces caves et forment les collections du musée de la préhistoire accessible sur le site.
Il ne faut d’ailleurs pas manquer la visite de cet espace muséal qui permet de mieux situer le sujet et d’approfondir l’intérêt de ce site paléolithique. Le reste de la visite consiste en la découverte accompagnée des grottes Margot (ornée) et Rochefort. Notez que la 2ème grotte ornée (la grotte Mayenne-Sciences) n’est pas ouverte à la visite pour des questions de conservation.
Connu de longue date, les grottes de Saulges ont suscité un regain d’intérêt de la communauté scientifique après la découverte des ornementations de la grotte Mayenne-Sciences en 1967. C’est ce qui a abouti à la mise en valeur scientifique du site décidée à la fin des années 90.
Les grottes de Saulges ayant été mises à l’honneur à la télévision ces derniers mois, les visites se remplissent à vitesse grand V. Heureusement, le site est ouvert jusqu’à fin novembre ! La Vallée de l’Erve et les nombreux circuits de randonnée qui la traversent fera une très bonne entrée en matière avant une visite des grottes à l’automne ;)
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L'écomusée de la Bintinais
Pour ce nouvel épisode, explorons un lieu culturel charmant : l’écomusée de la Bintinais aux portes de Rennes. Installé dans une ancienne ferme, l’écomusée est tout à la fois un lieu de conservation, d’exposition et de vie culturelle.
Ses 19 hectares de parc agro-pastoral sont un enchantement et ravivent une petite flamme nostalgique pour ceux qui ont connu les fermes de Haute-Bretagne dans leur enfance. Bien que l'exploitation ait été plutôt cossue, elle a représenté tous les éléments emblématiques de la vie à la ferme en Haute-Bretagne à travers le temps. Grande exploitation cidricole et laitière à son apogée, la ferme de la Bintinais sera exploitée jusqu’en 1982.
Aujourd’hui, le site joue notamment un rôle de conservation des espèces animales endémiques : moutons d’Ouessant, vaches nantaises et poules coucou rennais y sont choyés (et visibles dans le parc). Les espèces végétales y sont aussi conservées, et notamment les nombreuses variétés de pommes à cidre qui ont autrefois porté l’Ille-et-Vilaine au rang de premier producteur cidricole du pays.
Dans les bâtiments, un parcours retrace l’histoire du département et met en avant des éléments vernaculaires qui racontent « la vie d’ici ». A l’entrée du parc, un bâtiment moderne abrite l’accueil et l’espace d’exposition temporaire.
Ce lieu culturel est porté par Rennes Métropole et ouvert au plus grand nombre : le parc et son exposition permanente sont gratuits. Seul l’accès aux expositions temporaires est payant.
Il y a quelque chose de très émouvant dans ce lieu, mais peut-être qu’il nous parle particulièrement parce qu’il touche à nos racines. Il est un lieu riche d’enseignements, une véritable parenthèse dans la métropole rennaise.
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Saint-Céneri-le-Gérei, méandres maino-normands
Cette fois, découvrons un village qui mérite son titre de Plus beau village de France : Saint-Céneri-le-Gérei.
Ce petit village qui compte à peine plus d’une centaine d’habitants est situé dans l’Orne, à 10 km de sa capitale, Alençon. Mais à quelques pas à l’ouest, on est dans la Mayenne et à quelques pas à l’est on est dans la Sarthe ! Le jour de notre visite, un petit groupe de touristes à vélo interroge un habitant : « alors, vous êtes ornais, sarthois ou mayennais ? ». Réponse : « Oh, ni l’un, ni l’autre, ici on est girois » (gentilé locale). Et on le comprend bien : ici, on est un petit peu hors du monde.
En effet, Saint-Céneri est une véritable bulle de charme enchâssée dans le relief des Alpes mancelles, au creux d’un méandre de la Sarthe. Son emplacement géographique en fait naturellement une perle en son écrin.
Au-delà de la magie du paysage, ce qui charme à Saint-Céneri, c’est son histoire riche en événements et légendes sur un territoire petit comme un mouchoir. L’office de tourisme propose un parcours sur panneaux qui raconte et montre la relation intime du village avec les peintres à la fin du XIXe siècle. Une véritable petite école de Saint-Céneri s’est forgée, encouragée par l’arrivée du train à Alençon. On découvre ainsi différentes vues du villages, à différentes époques et en différents styles, qui retranscrivent toutes un morceau de l’âme de ce village. Les peintres ont notamment laissé une oeuvre « en » les murs dans l’auberge des sœurs Moisy et plus précisément, dans la salle dite « des décapités » : L’histoire raconte que par temps pluvieux, les artistes peignaient leurs silhouettes sur les murs en suivant leurs ombres projetées à lueur de chandelle. Unique !
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𝗟𝗲 𝗟𝗮𝗰 𝗱𝗲 𝗚𝘂𝗲𝗿𝗹𝗲́𝗱𝗮𝗻, 𝗮𝗽𝗮𝗿𝘁𝗲́ 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗽𝗮𝘆𝘀𝗮𝗴𝗲 𝗯𝗿𝗲𝘁𝗼𝗻
Pour ce 10ème épisode, nous vous invitons à découvrir le Lac de Guerlédan, à la frontière entre les Côtes d’Armor et le Morbihan. Etendue d’eau artificielle apparue à la faveur de la création du barrage du même nom en 1930, le lac mesure pas moins de 12 kilomètres de long pour une superficie de 300 ha. Ces dimensions en font une véritable petite mer intérieure dans une région largement tournée vers ses espaces côtiers. Ses méandres insérés dans les collines alentours empêchent d’embrasser la totalité de la surface du regard et favorisent un magnifique espace de randonnée où les points de vue se renouvellent à chaque virage.
Le Lac de Guerlédan est un point de chute parfait pour les sorties natures (attention, le sentier de randonnée est très sportif !) et offre une base surprenante pour les activités nautiques. Il est également possible de visiter le barrage et un musée nommé « Electrothèque » reprend l’histoire de ce site et de l’arrivée de l’électricité. D’ailleurs, son histoire et les lieux de patrimoine environnants et qui lui sont liés témoignent d’une vraie richesse du lieu.
Ce lac est une escapade tout à fait fascinante dans une Bretagne intérieure qu’on imagine (à tort) sans surprise et ses abords en font une destination nature en toute saison !
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𝗟𝗲 𝗰𝗵𝗮̂𝘁𝗲𝗮𝘂 𝗱𝗲 𝗧𝗿𝗲́𝘃𝗮𝗿𝗲𝘇, 𝗹’𝘂𝘁𝗼𝗽𝗶𝗲 𝗱𝗲 𝗝𝗮𝗺𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗞𝗲𝗿𝗷𝗲́𝗴𝘂
Poursuivons à la découverte du château néogothique de Trévarez, situé sur la commune de Saint-Goazec dans le Finistère.
Lorsque l’on visite le site du Trévarez, le parcours et les dimensions du parc entraînent immanquablement la même rencontre : au détour d’un arbre, on aperçoit les hautes tours rouges de ce magnifique château et on est soufflé ! Comme attiré par ce château à l’allure étrange et magnétique. On est ici au cœur des Montagnes Noires et un parfum de légende et de mystère flotte dans les allées du parc de 85 ha.
Bâti sur les terres de l’ancien manoir de Trévarez, le château est la matérialisation du rêve de James de Kerjégu qui souhaitait offrir à sa fille unique Françoise un château présentant tous les aspects de la modernité de l’époque. Sa construction s’achève en 1907 soit un an seulement avant la mort de son fondateur. Françoise et son époux égayeront la vie de Trévarez par de nombreuses réceptions célèbres par leur faste. A son apogée, Trévarez comptera jusqu’à 80 domestiques.
Depuis les salles de réception du rez-de-chaussée, la vue qui embrasse la vallée de l’Aulne est époustouflante et l’impression d’être là au bord du monde dans un cadre tout à fait incomparable est marquante.
Le domaine de Trévarez offre toutes les commodités pour passer une demi-journée, voire une journée entière dans la bulle enchantée de James de Kerjégu. On peut y déjeuner, y découvrir de petits espaces d’exposition dans les écuries ou encore y pique-niquer. Alors, si vous cherchiez une idée de découverte dans le Finistère, ne cherchez plus ! C’est réellement l’un des gros coups de cœur de l’agence.
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𝗟𝗮 𝗩𝗶𝗹𝗹𝗮 𝗱𝘂 𝘁𝗲𝗺𝗽𝘀 𝗿𝗲𝘁𝗿𝗼𝘂𝘃𝗲́, 𝘃𝗼𝘆𝗮𝗴𝗲 𝗲𝗻 𝟭𝟵𝟬𝟬
Pour ce douzième épisode, cap sur le Calvados et la station balnéaire de Cabourg. A quelques encablures de Caen se trouve là une ville construite pour les plaisirs du bord de mer : casino, grand hôtel, commerces et villas en nombre s’étendent le long d’axes rayonnant. C’est ici qu’à ouvert en 2021 ce musée qui ne dit pas son nom. Pas de collections poussiéreuses à la Villa du temps retrouvé, ici on remonte le temps avec modernité et entrain dans une maison meublée qui retranscrit le joyeux tourbillon artistique de la Belle époque. Et c’est précisément cette période de l’histoire qui est au cœur du sujet. La Belle époque correspond grosso modo aux 20 années qui ont précédé la première guerre mondiale. Une période faste pour la création, insouciante et avide de nouveautés.
La visite commence par une salle de projection qui nous plonge avec ravissement dans l’esprit de la Belle époque à travers un enchaînement de petits films. Puis on poursuit dans les salles d’expositions qui prennent la forme de pièces d’une villa cossue dans lesquelles chaque objet attise la curiosité.
La Villa du temps retrouvé est un clin d’œil à l’écrivain Marcel Proust. A partir de 1907 et jusqu’au début de la guerre, il installe sa plume chaque été à Cabourg qu’il décrit sous les traits de Balbec dans son œuvre. « Le Temps retrouvé » est le titre du dernier tome de la série romanesque « A la Recherche du temps perdu » qui en comporte 7.
En plus de l’expo permanente, un espace propose des expo temporaires qui s’intéressent à un sujet en particulier de la période. Pour 2025 c’est le scientifique Louis Pasteur qui est mis à l’honneur. En extérieur, une expo photo prolonge la visite et clôture ce merveilleux voyage.
Série à suivre...